Bovins de boucherie Les prix plafonnent
Les viandes hachées fraîches et les produits élaborés sont plébiscités par les consommateurs. Les pièces à cuisson lente sont nettement moins demandées avec l’arrivée des beaux jours et de la chaleur. Les morceaux à griller semblent réservés pour les week-ends ce qui limite les ventes.
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Les tarifs sont stables dans le domaine des viandes de haut de gamme en blondes d’Aquitaine, limousines ou charolaises, avec une bonne adéquation entre l’offre et la demande.
Le commerce est plus calme en réformes allaitantes de choix secondaire avec des sorties d’herbage qui couvrent plus facilement la demande. La gamme tarifaire pour les vaches charolaises R est comprise entre 3,55 et 3,70 €/kg dans les animaux R– âgés et légers et de 3,70 à 3,85 €/kg pour les bonnes vaches correctement finies. Les bonnes vaches U- peinent à dépasser les 3,90 €/kg.
Le prix des vaches prim’holsteins P+/O– se stabilisent entre 2,85 et 2,90 €/kg sur le grand Ouest alors que la majorité des P=3 se négocient entre 2,75 et 2,80 €/kg en fonction du poids.
Les tarifs en normandes et montbéliardes O+/R– se maintiennent à 3,20 €/kg et montent à 3,40 €/kg pour les très bonnes R–. Les animaux plus ordinaires se tiennent de 2,70 à 3 €/kg voire 2,40 €/kg pour les sujets juste en finition.
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